On est toujours trop loin de ceux qu'on aime
Et quand mes jours pleuraient des larmes d'ébène,
J'avais l'mal de toi jusqu'au délire,
Trop besoin d'effleurer ton sourire
Sentir ton regard posé sur moi
Dans tous les silences de ta voix…
On est toujours trop loin de ceux qu'on aime
Et les nuits où l'amour valait la haine,
Je construisais un pont imaginaire
De mon Paradis à ton Enfer
Même si nos cœurs étaient séparés,
Désunis, on ne l'a jamais été…
J'avais l'mal de toi jusqu'au délire,
Trop besoin d'effleurer ton sourire
Sentir ton regard posé sur moi
Dans tous les silences de ta voix…
On est toujours trop loin de ceux qu'on aime
Et les nuits où l'amour valait la haine,
Je construisais un pont imaginaire
De mon Paradis à ton Enfer
Même si nos cœurs étaient séparés,
Désunis, on ne l'a jamais été…
Combien de tourments,
Pour découvrir l’espoir
D’amies et d’amants,
Pour troubler nos regards
Combien de chemins,
Pour trouver notre voie,
De lignes de main,
Pour enlacer nos doigts
Combien de soleils,
Pour nous sortir de l’ombre,
De nuits sans sommeil,
Pour dormir dans ton monde…
Le premier Amour
Reste le dernier,
Dans un contre-jour,
Un arbre gravé
Le premier Amour
Est toujours le dernier,
Même le temps ne pourra l’arrêter
Pour découvrir l’espoir
D’amies et d’amants,
Pour troubler nos regards
Combien de chemins,
Pour trouver notre voie,
De lignes de main,
Pour enlacer nos doigts
Combien de soleils,
Pour nous sortir de l’ombre,
De nuits sans sommeil,
Pour dormir dans ton monde…
Le premier Amour
Reste le dernier,
Dans un contre-jour,
Un arbre gravé
Le premier Amour
Est toujours le dernier,
Même le temps ne pourra l’arrêter
On est toujours trop loin de ceux qu'on aime
Et les nuits où l'amour valait la haine,
Je construisais un pont imaginaire
De mon Paradis à ton Enfer
Même si nos cœurs étaient séparés,
Désunis, on ne l'a jamais été…
Et les nuits où l'amour valait la haine,
Je construisais un pont imaginaire
De mon Paradis à ton Enfer
Même si nos cœurs étaient séparés,
Désunis, on ne l'a jamais été…
Combien de sourires,
Pour nos larmes de joie,
De cris sans désir,
Pour s’aimer en éclats
Combien de mots doux,
Pour durcir nos "Peut-être"
Et de rendez-vous,
Pour mieux nous reconnaître
Combien de souffrances,
Pour guérir une seule fois
Et de renaissances ,
Pour dater depuis toi…
Pour nos larmes de joie,
De cris sans désir,
Pour s’aimer en éclats
Combien de mots doux,
Pour durcir nos "Peut-être"
Et de rendez-vous,
Pour mieux nous reconnaître
Combien de souffrances,
Pour guérir une seule fois
Et de renaissances ,
Pour dater depuis toi…
Qu'importe l'Etoile, on a brillé,
Qu'importe l'espace, on a flotté,
Qu'importe le monde, d'en haut d'en bas :
Les Anges Gardiens de notre histoire,
étaient Toi et Moi
Qu’importe le ciel, on a prié,
Qu'importe la terre, elle a tourné,
On dit que même Dieu, le sait déjà,
Qu'à chaque seconde,
c'était Toi et Moi
Qu'importe l'espace, on a flotté,
Qu'importe le monde, d'en haut d'en bas :
Les Anges Gardiens de notre histoire,
étaient Toi et Moi
Qu’importe le ciel, on a prié,
Qu'importe la terre, elle a tourné,
On dit que même Dieu, le sait déjà,
Qu'à chaque seconde,
c'était Toi et Moi
0 Comments:
Enregistrer un commentaire
<< Home